Sara Al Haj Sleiman, docteure en génie civil à Centrale Nantes, revient sur sa thèse qui remet en cause la pertinence de la qualification des bétons exposés au gel-dégel. Grâce à une modélisation multi-échelles et une analyse de la variabilité climatique, elle propose une meilleure approche pour les essais normatifs sur la résistance du béton à l’écaillage. L’occasion d’entrer dans le détail de cette thèse, qui a reçu le prix RSE de la Fondation Ecole française du béton.